Le Rove
LE ROVE
Une identité locale pour la défense de l’environnement
Avec près de 2000 hectares, Le Rove possède le plus grand territoire préservé de la Côte Bleue.
On y recense une flore et une faune « exceptionnelles » notamment un troupeau de 400 chèvres du Rove, mais aussi des espèces protégées comme l’aigle de bonelli, le grand duc et autres rapaces. Reconnu en juin 2013, «site classé» par la DREAL (Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement), le territoire du Rove est un espace naturel privilégié, véritable poumon vert aux portes de Marseille. Il n’en reste pas moins fortement exposé par sa géographie aux risques d’incendies. 75 entrées de site et des dizaines de kilomètres de pistes sont recensées. La municipalité qui est gestionnaire des terrains du conservatoire emploie d’importants moyens pour préserver son territoire. A noter que l’usage des engins motorisés y est strictement interdit pour garantir la sécurité des usagers mais surtout l’équilibre de la biodiversité. Un garde du littoral recruté par la municipalité a pour mission principale la surveillance du massif.
Le Rove possède aujourd’hui la plus grande surface naturelle de la Côte bleue avec 87% du territoire en site classé (soit 2000 hectares sur 2300) ainsi que la plus grande façade maritime, allant du Resquiadou aux Erevines en passant par la Vesse et Niolon.
Il est important de rappeler que cet environnement exceptionnel a pu être préservé de l’appétit des opérateurs immobiliers (qui voulaient en faire une cité balnéaire de près de 65000 habitants - projet Amerove) grâce à un long combat initié par Georges Rosso au milieu des années 1970 avec le soutien des élus et des habitants.
Aujourd’hui, les rovenaines et les rovenains mais aussi les estivants peuvent profiter de cet espace remarquable pour d’exceptionnelles balades à pieds ou en vtt.
Le maire du Rove a l’habitude de dire «la défense de l’environnement est un combat permanent».
C’est pourquoi nous devons préserver inlassablement notre environnement pour les générations présentes et futures.
On y recense une flore et une faune « exceptionnelles » notamment un troupeau de 400 chèvres du Rove, mais aussi des espèces protégées comme l’aigle de bonelli, le grand duc et autres rapaces. Reconnu en juin 2013, «site classé» par la DREAL (Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement), le territoire du Rove est un espace naturel privilégié, véritable poumon vert aux portes de Marseille. Il n’en reste pas moins fortement exposé par sa géographie aux risques d’incendies. 75 entrées de site et des dizaines de kilomètres de pistes sont recensées. La municipalité qui est gestionnaire des terrains du conservatoire emploie d’importants moyens pour préserver son territoire. A noter que l’usage des engins motorisés y est strictement interdit pour garantir la sécurité des usagers mais surtout l’équilibre de la biodiversité. Un garde du littoral recruté par la municipalité a pour mission principale la surveillance du massif.
Le Rove possède aujourd’hui la plus grande surface naturelle de la Côte bleue avec 87% du territoire en site classé (soit 2000 hectares sur 2300) ainsi que la plus grande façade maritime, allant du Resquiadou aux Erevines en passant par la Vesse et Niolon.
Il est important de rappeler que cet environnement exceptionnel a pu être préservé de l’appétit des opérateurs immobiliers (qui voulaient en faire une cité balnéaire de près de 65000 habitants - projet Amerove) grâce à un long combat initié par Georges Rosso au milieu des années 1970 avec le soutien des élus et des habitants.
Aujourd’hui, les rovenaines et les rovenains mais aussi les estivants peuvent profiter de cet espace remarquable pour d’exceptionnelles balades à pieds ou en vtt.
Le maire du Rove a l’habitude de dire «la défense de l’environnement est un combat permanent».
C’est pourquoi nous devons préserver inlassablement notre environnement pour les générations présentes et futures.
