Samedi dernier, le village du Rove avec le banquet des anciens du comité des fêtes et le challenge Del Campo-Laï de la boule dansante était très animé. Les caméras de France 3 ont suivi Georges ROSSO au cours de cette journée.
Ce 8 mars 2014, le Rove était le théâtre de toutes les attentions qui ont été captées par une équipe de journalistes de France 3. Cette journée qui s’est déroulée sous un soleil et des températures estivales a commencé par le démarrage du challenge Del Campo-Laï rassemblant sur deux jours les meilleurs joueurs du jeu provençal de la région. Le maire de la commune, Georges Rosso, est allé encourager les participants qui lui ont réservé un chaleureux accueil au boulodrome municipal jouxtant la salle des fêtes. C’est aux douze coups de midi que le traditionnel banquet offert par le comité des fêtes aux retraités a ouvert à quelques pas de là–. Le maire entouré d’adjoints et de membres bénévoles du comité était présent pour y accueillir les quelques 300 convives. Chaque femme a eu droit à une fleur pour marquer la journée de la femme. Comme le veut la tradition, Georges ROSSO a, par une brève allocution, souhaité la bienvenue aux nombreux convives. « C’est un rendez-vous sans pareil, qui me procure à chaque fois beaucoup de plaisir de vous revoir et de partager avec vous ces moments de convivialité et de fête » Il devait féliciter et remercier les membres du comité pour la préparation de cette journée demandant beaucoup de travail et de logistique, que ce soit en cuisine ou pour le service.
Après l’apéritif, les convives ont pu déguster un repas gastronomique préparé par Olivier, Viviane et toute l’équipe cuisine. Puis un orchestre de variétés-musette a fait danser tout ce beau monde jusqu’à la fin d’après-midi.
Le comité des fêtes offre une fleur à chaque dame
Dès leur arrivée au banquet du comité des fêtes, chaque dame invitée a eu la surprise et surtout le plaisir de recevoir une fleur offerte par le comité des fêtes à l’occasion de la journée de la femme. Dans son allocution, Georges Rosso devait lire quelques lignes retraçant l’historique de cette journée internationale en l’honneur « de celles sans qui on ne serait rien ».